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Soirée spéciale Québec en partenariat avec la Délégation générale du Québec à Paris



Parcours Maison d'édition avec les Éditions La Peuplade.

Avec Simon Philippe Turcot, directeur général des Éditions La Peuplade et les auteurs Christian Guay-Poliquin et Larry Tremblay.

La Peuplade publie depuis 2006 des livres de fiction, des récits, de la poésie et des traductions de romans inspirants d’où qu’ils proviennent. De son phare, La Peuplade tient le cap sur une littérature actuelle convaincue, signée, nécessaire.

Bouger, agir, évoluer, prendre part au dialogue, construire une époque, formuler des idées, un propos. Aller vers La Peuplade signifie adopter rigueur et passion, sans regarder la distance. Sans frontières, la maison d’édition occupe le territoire – question d’équilibre –, inclut les grands espaces, projette sa lumière dans la nuit, rassure celui qui voyage.


Photo de l'auteur ©Laurence Grandbois Bernard


LES OMBRES FILANTES

Dans la forêt, un homme marche en direction du camp de chasse où sa famille s'est réfugiée pour fuir les bouleversements causés par une panne électrique généralisée. Il s'enfonce dans les montagnes en suivant les sentiers et les ruisseaux.

Affrontant l'hostilité de ces contrées sauvages, il doit aussi se méfier des autres qui, comme lui, ont choisi de disparaître dans les bois. Sur son chemin, un petit garçon l'interpelle. Il a une dizaine d'années, une chevelure en broussailles et des yeux noirs comme du charbon. Bien que la présence de cet enfant en ces lieux demeure un mystère, l'homme laisse tomber sa solitude et poursuit sa route avec lui. Lorsqu'ils arrivent au camp, ils découvrent une communauté organisée autour du troc de viande, de tâches diverses et d'une vieille génératrice.

Christian Guay-Poliquin offre avec "Les ombres filantes" une fable politique étonnante sur la nécessité, pour toute société, de prendre en compte l'avenir de sa jeunesse.



Photo de l'auteur ©CharlesBriand


TABLEAU FINAL DE L'AMOUR

Librement inspiré de la vie du peintre Francis Bacon, Tableau final de l'amour fait le récit d'une quête artistique sans compromis, viscérale, voire dangereuse. Dans une Europe traversée par deux guerres s'impose la vision d'un artiste radical dont l'oeuvre entière, obsédée par le corps, résonne comme un cri. S'adressant à l'amant qui lui a servi de modèle - ce « petit voleur inexpérimenté » qui, en pleine nuit, s'est introduit dans son atelier -, le narrateur retrace les errances de leur relation tumultueuse. Avec ce roman, rappelant l'érotisme de Bataille ou de Leiris, Larry Tremblay poursuit son oeuvre de mise à nu de l'être humain.

Il ne fallait pas peindre la surface des choses, mais ce qu'elle cachait. Ne pas peindre l'espace, mais le temps. Ne pas peindre ton corps, mais sa mort.


Chaque premier mercredi du mois nous vous proposons d'aller à la rencontre d'auteurs et de maisons d'éditions québécois.


Soirée en partenariat avec la Délégation générale du Québec à Paris

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