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Les bijoux de l'été en littérature parus au
Livre de poche.
Les livres présentés par Julie Vandamme de la Librairie Molière à Charleroi et Pascal Auréjac de la librairie Le rouge et le noir à Saint Chely d'Apcher en Lozère.
Les victorieuses, Laetitia Colombani
Brillante avocate, Solène tente de se reconstruire après un burn-out. Acceptant une mission bénévole d'écrivain public, elle est envoyée au Palais de la Femme, un foyer au coeur de Paris. Les résidentes s'appellent Binta, Sumeya, Cvetana, Salma ou la Renée et viennent du monde entier. Lorsqu'elles voient arriver Solène, elles se montrent méfiantes. Mais Solène est bien décidée à trouver sa place auprès de ces femmes aux destins tourmentés...
Un siècle plus tôt, Blanche Peyron oeuvre en faveur des démunis. Elle a voué sa vie à l'Armée du Salut et rêve d'offrir un refuge à toutes les exclues de la société. Le chemin est ardu, mais elle ne renonce jamais. Laetitia Colombani donne vie à ces victorieuses anonymes, à Blanche l'oubliée, à toutes celles qui refusent de se résigner.
Anatomie d'un scandale, Sarah Vaughan
Kate vient de se voir confier l'affaire de sa vie, celle qui accuse d'un terrible crime l'un des hommes les plus proches du pouvoir. Kate doit faire condamner James Whitehouse.
Sophie adore son mari, James. Elle est prête à tout pour l'aider et préserver sa famille. Sophie doit trouver la force de continuer comme avant.
Comme avant, vraiment ? Quels sombres secrets dissimule le scandale, et à quel jeu se livrent réellement ces deux femmes et cet homme ?
Les fureurs invisibles du coeur, John Boyne
Cyril n'est pas « un vrai Avery » et il ne le sera jamais - du moins, c'est ce que lui répètent ses parents, Maude et Charles. Mais s'il n'est pas un vrai Avery, qui est-il ? Né d'une fille-mère bannie de la communauté rurale irlandaise où elle a grandi, devenu fils adoptif des Avery, un couple dublinois aisé et excentrique, Cyril se forge une identité au gré d'improbables rencontres et apprend à lutter contre les préjugés d'une société où la différence et la liberté de choix sont loin d'être acquises.
Les os des filles, Line Papin
« Tu avais dix-se pt ans alors, à peine, et tu as pris l’avion, seule, pour retourner à Hanoï. Tu vois, j’en ai vingt-trois aujourd’hui, et je retourne, seule, une nouvelle fois, sur les lieux de ton enfance. Tu es revenue et je reviens encore, chaque fois derrière toi. Je reviendrai peut-être toujours te trouver, trouver celle qui naissait, celle qui mourait, celle qui se cherchait, celle qui écrivait, celle qui revenait. Je reviendrai peut-être toujours vers celle qui revenait, vers les différents coffrets d’os, vers les couches de passé qui passent toutes ici. »
La goûteuse d'Hitler, Rosella Postorino
1943. Reclus dans son quartier général en Prusse orientale, terrorisé à l'idée que l'on attente à sa vie, Hitler a fait recruter des goûteuses. Parmi elles, Rosa.
Quand les S.S. lui ordonnent de porter une cuillerée à sa bouche, Rosa s'exécute, la peur au ventre : chaque bouchée est peut-être la dernière. Mais elle doit affronter une autre guerre entre les murs de ce réfectoire : considérée comme « l'étrangère », Rosa, qui vient de Berlin, est en butte à l'hostilité de ses compagnes, dont Elfriede, personnalité aussi charismatique qu'autoritaire.
Pourtant, la réalité est la même pour toutes : consentir à leur rôle, c'est à la fois vouloir survivre et accepter l'idée de mourir.
Couronné en Italie par le prestigieux prix Campiello, ce roman saisissant est inspiré de l'histoire vraie de Margot Wölk. Rosella Postorino signe un texte envoûtant qui, en explorant l'ambiguïté des relations, interroge ce que signifie être et rester humain.
La femme qui fuit, Anaïs Barbeau-Lavalette
Elle s'appelait Suzanne Meloche. Était aux côtés de Borduas, Gauvreau et Riopelle quand ils signent leRefus globalen 1948. Fonda une famille avec le peintre Marcel Barbeau. Abandonna très tôt ses deux enfants.
Afin de remonter le cours de la vie de sa grand-mère, qu’elle n’a pas connue, l'auteur a engagé une détective privée et écrit à partir des indices dégagés. À travers ce portrait de femme explosive, restée en marge de l'histoire, Anaïs Barbeau-Lavalette livre une réflexion sur la liberté, la filiation et la création d’une intensité rare et un texte en forme d’adresse, directe et sans fard, à celle qui blessa sa mère à jamais.
Idiss, Robert Badinter
J'ai écrit ce livre en hommage à ma grand-mère maternelle, Idiss.
Il ne prétend être ni une biographie, ni une étude de la condition des
immigrés juifs de l'Empire russe venus à Paris avant 1914.
Il est simplement le récit d'une destinée singulière à laquelle j'ai
souvent rêvé.
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